• Paroles & musique : Michel Pierozzi

    À l'encre de mes pensées 

    Ecouter « A L'ENCRE DE MES PENSEES »

    Chaque jour chaque seconde
    Se reflète dans tes yeux
    Toutes les misères du monde
    Se perdent dans tes cheveux

    Chaque minute chaque nuit
    Dessine dans ma mémoire
    Des notes et des poésies
    Quand tu portes mon espoir

    Je n’ai jamais su parler
    Alors je t’écris parfois
    À l’encre de mes pensées
    Mais tu ne me réponds pas

    Chaque soleil chaque pluie
    Illumine ton visage
    Et quand le ciel s’assombrit
    Ton regard chasse les nuages

    Chaque trace chaque pas
    M’amène sur ton rivage
    Où le temps n’existe pas
    Comme un galet sur la plage

    Je n’ai jamais su parler
    Alors je t’écris parfois
    À l’encre de mes pensées
    Mais tu ne me réponds pas

    Chaque bruit chaque silence
    Me rappelle ton absence
    Loin de ma réalité
    La vie n’a plus aucun sens

    Chaque envie chaque désir
    Ne peut exister sans toi
    Tu me condamnes à souffrir
    Puisque je te perds déjà

    Je n’ai jamais su parler
    Alors je t’écris parfois
    À l’encre de mes pensées
    Mais tu ne me réponds pas

    Chaque larme et chaque rire
    Attendent patiemment l’heure
    Où tu daigneras ouvrir
    Les portes de mon bonheur


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  • Paroles & musique : Michel Pierozzi

    Tu t'es perdu

    Ecouter « TU T'ES PERDU »

    T’as semé des pierres sur la route
    En pensant faire demi-tour
    Quand tes pas deviendraient trop lourds
    Sur ce chemin jonché de doutes

    Avec des cailloux dans tes poches
    T’as traversé des nuits sans fin
    Espérant l’horizon tout proche
    Sans te soucier du lendemain

    Mais quand tes poches furent vides
    Le temps soudain s’est arrêté
    Aux confins d’un futur aride
    Loin de tes rêves inachevés

    Tu t’es perdu
    Tu t’es perdu

    T’as entendu le cri du vent
    Dans les méandres des murailles
    Quand le passé et le présent
    Se livraient une folle bataille

    Au creux de ton arbre magique
    T’as laissé s’égrainer les heures
    Et tes délires nostalgiques
    N’ont fait que museler ta peur

    Quand surgit la réalité
    Tu ne t’es pas senti capable
    De la vivre et de l’affronter
    Telle une épave sur le sable

    Tu t’es perdu
    Tu t’es perdu

    T’as vécu dans un autre monde
    En croyant que c’était le vrai
    En te disant que tout le monde
    Vivrait dans ton jardin secret

    T’as inventé un univers
    Car tu n’aimais pas celui-là
    Tu es l’auteur imaginaire
    D’une histoire qui n’existe pas

    Alors t’as vu la solitude
    Te guetter au coin de la rue
    Alors t’as laissé l’habitude
    Te guider jusqu’à l’inconnu

    Tu t’es perdu
    Tu t’es perdu


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  • Toi

    Paroles & musique : Michel Pierozzi

    Toi

    Ecouter « TOI »

    Mes regrets
    Mon silence
    Ont comblé
    Ton absence
    Mais il pleut
    Dans mes yeux
    Et mon chagrin
    Oui te va si bien
    Si tes armes
    Ont gagné
    Quand mes larmes
    Ont coulé
    Mes sanglots
    Sur tes mots
    Glissent comme le vent
    Sur les océans

    Laisse moi le temps
    De vivre sans
    Toi

    De toujours
    À jamais
    Notre amour
    Disparaît
    Mon sourire
    Se déchire
    En pensant
    À nos jours d’avant
    Ce fardeau
    Qui m’écrase
    Cette flamme
    Qui m’embrase
    Comment faire
    Pour défaire
    La lourde chaîne
    Que maintenant je traîne

    Laisse moi le temps
    De vivre sans
    Toi

    Entre nous
    Un grand mur
    Devant nous
    La rupture
    Partir loin
    Au hasard
    Mais mes chemins
    Ne mènent nulle part
    Tu as pris
    Ma mémoire
    Et détruit
    Mes espoirs
    L’avenir
    M’abandonne
    Dans ce désir
    Où tu m’emprisonne

    Laisse moi le temps
    De vivre sans
    Toi

    Sur ton ombre
    Ma lumière
    Devient sombre
    Ephémère
    Dans mes rêves
    Tu viendras
    Mes nuits trop brèves
    Retrouveront tes bras
    J’ai arraché
    La page
    Effacé
    Les images
    Notre histoire
    N’est plus
    Qu’un étrange brouillard
    Où l’on s’était perdu

    Laisse moi le temps
    De vivre sans
    Toi


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  • Paroles & musique : Michel Pierozzi

    Chez moi

    Ecouterer « CHEZ MOI »

    Dans le silence de la nuit
    Je pense à toi et je t’écris
    J’ai noirci une feuille blanche
    Avec les mots de ton absence

    Je t’attendrai je serai là
    Dans quelques jours quand tu viendras
    Chez moi

    Quand tu liras ma courte lettre
    Tu seras déçue peut-être
    Je ne sais pas faire de discours
    Ni des déclarations d’amour

    Je t’attendrai je serai là
    Dans quelques heures quand tu viendras
    Chez moi

    Ne t’égares pas en chemin
    Prends la bonne route le bon train
    Et si tu ne t’es pas perdue
    Tu arriveras dans ma rue

    Je t’attendrai je serai là
    Dans un quart d’heure quand tu viendras
    Chez moi

    Au pied d’une haute maison
    Une lourde porte à l’abandon
    Au fond de la cour un escalier
    Mon appartement au premier

    Je t’attendrai je serai là
    Dans un instant quand tu viendras
    Chez moi

    Je te guette par la fenêtre
    Dans la cour je vois une lettre
    Une tache blanche sur les pavés
    L’adresse a été effacée

    Je t’attendais tu n’es pas là
    Je crois que tu ne viendras pas
    Chez moi
    Je sais que tu ne viendras pas
    Chez moi


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  • Paroles & musique : Michel Pierozzi

    Ma ville est morte

    Ecouter « MA VILLE EST MORTE »

    Les maisons qui saignent
    Referment leurs volets
    Et les vieux murs se peignent
    De sombres reflets

    Les hauts donjons de verre
    Qui crèvent le bitume
    Ont massacré la terre
    Ne laissant qu’amertume

    Ma ville est morte
    Ferme ses portes
    Sur mon enfance qui chavire
    Ma ville est morte
    Et elle emporte
    Mes souvenirs

    Les rues qui transpirent
    Recrachent la fumée
    De ces fades navires
    Qui usent les pavés

    Les arbres ne sont plus
    Que des pantins de bois
    Le long des avenues
    Tristes chemins de croix

    Ma ville est morte
    Ouvre ses portes
    Sur le déclin de mon empire
    Ma ville est morte
    Et elle emporte
    Mes souvenirs

    Les joueurs d’accordéon
    Sont bannis des trottoirs
    Peintres et vagabonds
    Ont perdu la mémoire

    Les cafés les bistrots
    Ont effacé l’histoire
    Les couloirs du métro
    Les échos des guitares

    Ma ville est morte
    Et me transporte
    Vers l’imprévisible avenir
    Ma ville est morte
    Et elle emporte
    Mes souvenirs

    Pourquoi chercher sans cesse
    Les traces d’un passé
    Comme une ancienne adresse
    Qu’on aurait oubliée

    Pourquoi se cramponner
    Aux vestiges du temps
    Quand notre destinée
    Reflète le présent

    Ma ville est morte 
    Et peu importe 
    Ce qu’elle n’a pas pu me dire 
    Ma ville est morte 
    Et elle emporte 
    Mes souvenirs 

    Ma ville est morte 
    Et peu importe 
    Ce que je n’ai pas pu lui dire 
    Ma ville est morte 
    Et elle emporte 
    Mes souvenirs 



     


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  • Paroles & musique : Michel Pierozzi                                 Pour et avec ma petite fille 

    Yvanna

    Ecouter « YVANNA »

    Versailles vêtu de blanc
    Dans la neige et le vent
    Un matin elle est arrivée
    Petite demoiselle
    Si jolie et si frêle
    Un éclair dans l’obscurité

    Je danse je vole
    Vers le ciel je m’envole
    Au-delà de mes chagrins
    Je danse je vole
    Encore plus loin du sol
    Accrochée à mon destin

    Sa vie est animée
    D’images et de poupées
    Qui tournent comme une farandole
    Son imagination
    Est peuplée de passion
    De musiques et de cabrioles

    Je danse je vole
    Vers le ciel je m’envole
    Au-delà de mes chagrins
    Je danse je vole
    Encore plus loin du sol
    Accrochée à mon destin

    Son corps devient docile
    Dans mes bras immobile
    Elle se repose elle s’abandonne
    Son âme si fragile
    Se promène sur un fil
    Là-haut où les feuilles tourbillonnent

    Je danse je vole
    Vers le ciel je m’envole
    Au-delà de mes chagrins
    Je danse je vole
    Encore plus loin du sol
    Accrochée à mon destin

    Son cœur comblé de joie
    Ignore ne connaît pas
    La mélancolie la tristesse
    Elle s’appelle Yvanna
    Et pour toujours sera
    Ma petite fille ma princesse

    Je danse je vole
    Vers le ciel je m’envole
    Au-delà de mes chagrins
    Je danse je vole
    Encore plus loin du sol
    Accrochée à mon destin


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  • Paroles & musique : Michel Pierozzi

    Si c'était un rêve

    Ecouter « SI C'ETAIT UN REVE »

    On voudrait voyager
    Dans un monde sans fin
    Et sans arrêt marcher
    Prendre tous les chemins
    Atteindre l’horizon
    Contempler l’invisible
    Détruire sa prison
    Poursuivre l’impossible

    Et si c’était un rêve
    Et si c’était un rêve
    Tout ce qu’on a vécu
    Tout ce qu’on a connu
    Et si c’était un rêve
    Et si c’était un rêve
    Tout ce qu’on a voulu
    Tout ce qu’on a perdu

    On voudrait continuer
    Ne pas laisser derrière
    Des choses inachevées
    Ouvrir les barrières
    Puis choisir son destin
    Revivre son enfance
    Ou monter dans le train
    Des fragiles croyances

    Et si c’était un rêve
    Et si c’était un rêve
    Tout ce qu’on a vécu
    Tout ce qu’on a connu
    Et si c’était un rêve
    Et si c’était un rêve
    Tout ce qu’on a voulu
    Tout ce qu’on a perdu

    Enfin on voudrait vivre
    Sans délai sans répit
    Réécrire le livre
    Avant qu’il soit fini
    Défaire le présent
    Refaire le passé
    Mais les marques du temps
    Griffent notre pensée

    Et si c’était un rêve
    Et si c’était un rêve
    Tout ce qu’on a vécu
    Tout ce qu’on a connu
    Et si c’était un rêve
    Et si c’était un rêve
    Tout ce qu’on a voulu
    Tout ce qu’on a perdu


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  • Paroles & musique : Michel Pierozzi                                            En duo avec Fati

    L'histoire qui n'existait pas

    Ecouter « L' HISTOIRE QUI N'EXISTAIT PAS »

                                           J’aimerais vivre                                                               J’aimerais vivre
                                           Mon histoire avec toi                                                       Mon histoire avec toi
                                           Comme dans un livre                                                        Dans ce grand livre
                                           Qu’on ne referme pas                                                      Où tu me tends les bras
                                           Au fil des pages                                                               Au fil des pages
                                            Les empreintes du temps                                                Aurais-je encore le temps
                                           Telles des images                                                             De voir l’image
                                           Dessineront notre enfant                                                 Où nous serons amants

    Notre livre ne s’ouvrira pas
    Car notre histoire n’existe pas 

                                            J’aimerais vivre                                                               J’aimerais vivre
                                            Mon histoire avec toi                                                      Mon histoire avec toi
                                            Brûler le givre                                                                 Pouvoir te suivre
                                            Qui recouvre mes pas                                                      Jusqu’au bout de tes pas
                                            Sur le chemin                                                                  Sur le chemin
                                            Fragile de l’amour                                                            Verrais-je ton amour
                                            Quand le matin                                                                 Si le matin
                                            Etale son velours                                                              Tue notre premier jour

    Nos deux routes ne se croiseront pas
    Car notre histoire n’existe pas 

                                            J’aimerais vivre                                                                 J’aimerais vivre
                                            Mon histoire avec toi                                                         Mon histoire avec toi
                                            Je serais ivre                                                                    Tu seras ivre
                                            De bonheur pour toi                                                           Et amoureux de moi
                                            Dans le silence                                                                    Dans le silence
                                            De mes nuits solitaires                                                       J’habiterais tes nuits
                                            La délivrance                                                                      Mon existence
                                            Viendra par ta lumière                                                        Sera ton paradis

    Dans nos rêves on se retrouvera
    Car notre histoire n’existe pas
    Notre histoire n’existe pas


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  • Paroles & musique : Michel Pierozzi

    Ma ville

    Ecouter « MA VILLE »

    Des cheminées pour horizon
    Des toits sombres sur les maisons
    Et sur les murs
    Quelques blessures

    Cette agitation des faubourgs
    Des gens partout des gens toujours
    Au fond des rues
    Des voix perdues

    Dans cette ville où je suis né
    Où mon enfance s’est figée
    J’ai laissé mes pas s’égarer

    Quand le soir allume les tours
    Que la nuit efface le jour
    De la pénombre
    Sortent les ombres

    La pluie glisse sur les trottoirs
    Les néons dansent au hasard
    Sur les vitrines
    Qui s’illuminent

    Dans cette ville où je suis né
    Où mon enfance s’est figée
    J’ai laissé mes yeux s’égarer

    Dans cet univers inconnu
    Bien souvent je t’ai reconnue
    Mais ton visage
    N’est qu’une image

    Dans cette citadelle immense
    J’aurai peut-être un jour la chance
    De te croiser
    De te toucher

    Dans cette ville où je suis né
    Où mon enfance s’est figée
    J’ai laissé mon coeur s’égarer


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  • Paroles & musique : Michel Pierozzi

    Le mur

    Ecouter « LE MUR »

    L’aube a effacé mes songes
    J’entrouvre les yeux
    La solitude me ronge
    Me rend silencieux

    Ton écho me torture
    Quand il cogne contre le mur


    La longue matinée consume
    La flamme de mes yeux
    Mes pas errants sur le bitume
    Résonnent pour deux

    Ton ombre s’aventure
    Tout près de moi au pied du mur


    Dans le jour blême je cherche
    La pluie dans les yeux
    Une échappatoire une brèche
    Un bout de ciel bleu

    Ton parfum me capture
    Quand je pleure devant le mur


    La nuit enfin me réveille
    Je ferme les yeux
    Quand tout autour de moi sommeille
    Je te retrouve un peu

    Tu guéris mes blessures
    Quand je passe derrière le mur

    Quand je traverse le mur

    Quand je traverse le mur 

    Quand je traverse le mur 


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  • Paroles & musique : Michel Pierozzi 

    Le silence

    Ecouter « LE SILENCE »

    Sur les lignes de ma musique
    Il se pose de temps en temps
    Comme un signe cabalistique
    Pourtant personne ne l’entend

    Les vagues imprégnées d’écume
    L’ont chassé pour l’éternité
    Les rues tapissées de bitume
    L’ont sournoisement asphyxié

    Le vaste monde des souvenirs
    Ne lui réserve pas de place
    Même mes nuits le font fuir
    Car dans mes rêves il perd ma trace

    Dans les méandres de la mort
    A l’épilogue de ma vie
    Peut-être sera-t-il d’or
    Dans mon âme et dans mon esprit

    Derrière les lourdes portes de fer
    Contre les murs de l’ennui
    Il se fracasse comme une pierre
    Et se disperse dans l’oubli

    Si je cherche la solitude
    Pour qu’enfin il s’installe en moi
    Perdure cette certitude
    Le silence n’existe pas

    Le silence n’existe pas


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  • Paroles & musique : Michel Pierozzi

    Une petite goutte d'eau

    Ecouter « UNE PETITE GOUTTE D' EAU »

    Une petite goutte d’eau
    Dans l’immense rivière
    Cherche un calme ruisseau
    Entre cailloux et pierres
    Portée par le courant
    Elle se croit condamnée
    À poursuivre le temps
    Petite goutte égarée

    Une goutte de pluie
    Glisse sur un miroir
    Insouciante et ravie
    Elle peut enfin se voir
    Perdue dans son image
    Arrivée près du bord
    Elle poursuit son voyage
    Et bascule dehors

    Une goutte de sang
    De son cœur est tombée
    Les bords étaient tranchants
    Le miroir s’est brisé
    Des reflets de bonheur
    Sur le sol mouillé
    Balayés par les heures
    Se sont éparpillés

    La petite goutte d’eau
    Dans l’immense rivière
    N’a pas vu le ruisseau
    Entre cailloux et pierres
    Portée par le courant
    Sur la rive s’est échouée
    Etouffée par le temps
    Petite goutte oubliée


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  • Paroles & musique : Michel Pierozzi

    Mémo croisé

    Ecouter « MEMO CROISE »

    Une vie pour moi
    C’est le pas d’un géant
    Qui marche et croit
    Que le futur l’attend

    Une vie pour moi
    C’est la pluie du printemps
    Le soleil froid
    Les caprices du temps

    Dans mon mémo croisé
    Des cases blanches des cases noires
    Dessinent mon passé
    Sur les morceaux de ma mémoire

    Une vie pour moi
    C’est un rêve d’enfant
    Où les soldats
    Sont de plomb pas de sang

    Une vie pour moi
    C’est la force du vent
    Quand ses longs bras
    Portent les goélands

    Dans mon mémo croisé
    Des cases blanches des cases noires
    Ecrivent mon passé
    Sur les morceaux de ma mémoire

    Une vie pour moi
    C’est s’asseoir sur un banc
    Autour de soi
    Regarder le présent

    Une vie pour moi
    C’est t’aimer plus qu’avant
    Goûter ta voix
    Etre ton confident

    Dans mon mémo croisé
    Des cases blanches des cases noires
    Impriment mon passé
    Sur les morceaux de ma mémoire

    Une vie pour moi
    C’est un beau piano blanc
    Où glissent mes doigts
    Sur le clavier du temps

    Une vie pour moi
    C’est un monde trop grand
    Voir au-delà
    Je n’en aurai pas le temps
    Je n’en aurai pas le temps


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  • Paroles & musique : Michel Pierozzi

    Un jour

    Ecouter « UN JOUR »

    Un jour je ne te verrai plus
    Perdu dans le hasard
    Privé de ton regard

    Un jour je ne t’entendrai plus
    Sourd à tes confidences
    Prisonnier du silence

    Un jour je ne t’attendrai plus
    Plongé dans le néant
    J’aurai vaincu le temps

    Peut-être que là-bas j’aurai des rêves bleus
    La patience d’un ange et la force d’un dieu


    Un jour je ne toucherai plus
    Les courbes de ton corps
    Ta chevelure d’or

    Un jour je ne regarderai plus
    Tes yeux aux reflets verts
    Le fard de tes paupières

    Un jour je ne sentirai plus
    Le parfum de ta peau
    La peine de tes sanglots

    Peut-être que là-bas j’aurai des rêves bleus
    La patience d’un ange et la force d’un dieu


    Un jour je ne poserai plus
    Mes mains sur ton visage
    Mes yeux sur ton image

    Un jour je ne penserai plus
    Aux larmes et aux chagrins
    Au malheur assassin

    Un jour je ne reviendrai plus
    Que dans tes souvenirs
    Au gré de tes désirs

    Peut-être que là-bas j’aurai des rêves bleus
    La patience d’un ange et la force d’un dieu

    Peut-être que là-bas tu y viendras un jour
    On se retrouvera j’en suis sûr mon amour


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  • Paroles & musique : Michel Pierozzi

    La clé du temps

    Ecouter « LA CLE DU TEMPS »

    Quand vient la nuit
    Dans l'autre vie
    Là où rien ne se fane
    De mes désirs
    Je vois fleurir
    Les secrets de mon âme

    Derrière la porte
    Le vent m'emporte
    Dans l'ivresse d'un rêve
    Plus d’avenir
    De souvenirs
    D’aurore qui se lève

    Rien qu’un moment
    Pour un instant
    J’ai pris la clé du temps

    Pas de barrières
    Pas de prières
    Qui entravent ma route
    Tout est possible
    Imprévisible
    Plus de peine ni de doute

    De mon passé
    Les oubliés
    Sortent de la pénombre
    Sur leur visage
    Juste une image
    Une lumière sans ombre

    Rien qu’un moment
    Pour un instant
    J’ai pris la clé du temps

    J’irai chez toi
    Car pour toujours
    Je t'aime dans ce monde
    Comme autrefois
    Quand notre amour
    Oubliait les secondes.

    Rien qu’un moment
    Pour un instant
    J’ai pris la clé du temps


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  • Paroles & musique : Michel Pierozzi               L'un de mes premiers poèmes, vers mes 16 ans !

    Comme une fleur fanée

    Ecouter « COMME UNE FLEUR FANEE »

    J’ai longtemps attendu j’ai longtemps espéré
    Voir un jour mon cœur se passer de chagrin
    Se couvrir de poussière ne plus se réveiller
    A la moindre complainte ou au moindre parfum 

    Comme une fleur sauvage sur le bord d’un sentier
    Je blesserais sans pitié les mains aventureuses
    Comme l’oiseau qui s’envole après avoir mangé
    J’oublierais sans remords les âmes généreuses

    Mais les champs du bonheur sont souvent sillonnés
    Par le fer tranchant des amours éphémères
    Et les rêves perdus dans la terre gelée
    Ont planté leurs racines jusqu’au fond de l’hiver

    Même si parfois le vent chasse de mes pensées
    Pour l’instant d’un regard mes souvenirs amers
    Souvent devant mes yeux passe le voile nacré
    De la mélancolie monotone et austère


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  • Paroles & musique : Michel Pierozzi                                    Pour et avec mon petit-fils

    Lorenzo

    Ecouter « LORENZO »

    Plutôt chêne que roseau
    De l’énergie plus qu’il n’en faut
    Tu as la force de tes héros
    De l’audace à fleur de peau

    A grands coups de pinceau
    Sur un gigantesque tableau
    Tu inventes un monde nouveau
    Peuplé de rêves et de cadeaux

    Lorenzo Lorenzo

    Tu transportes sur ton dos
    Un univers plus rigolo
    En brisant à coups de marteau
    L’ennui qui éclate en morceaux

    Maître à bord de ton vaisseau
    Tant que flottera ton drapeau
    Entre les nuages et les flots
    Tu navigueras sans repos

    Lorenzo Lorenzo

    Quand ne suffisent plus les mots
    Dans ton regard de sable chaud
    Brûlent comme des braseros
    Les flammes ardentes de ton ego
    Mais dans ton coeur rien ne vaut
    La chaleur d’un doux manteau
    Tissé d’amour et de tendresse
    Où les peines disparaissent

    Mais dans ton coeur rien ne vaut
    La chaleur d’un doux manteau
    Tissé d’amour et de tendresse
    Où tes peines disparaissent

    Lorenzo Lorenzo


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  • Paroles & musique : Michel Pierozzi                        Pour et avec mon petit-fils

    Enzo

    Ecouter « ENZO »

    Il est très sûr de lui
    Il a appris par cœur
    Chansons et poésies
    Qu’il récite de bon cœur
    Enzo

    Je suis un petit garçon
    Qui vit près du soleil
    Dans une grande maison
    Sous un bel arc-en-ciel
    La la

    Les fées aux ailes d’argent
    Viennent peupler ses rêves
    Dans son monde il apprend
    Il est très bon élève
    Enzo

    Je suis un petit garçon
    Qui vit près du soleil
    Dans une grande maison
    Sous un bel arc-en-ciel
    La la

    Il préfère la prudence
    À la témérité
    Mais jamais le silence
    N’habite ses pensées
    Enzo

    Je suis un petit garçon
    Qui vit près du soleil
    Dans une grande maison
    Sous un bel arc-en-ciel
    La la

    Il trouvera sa place
    Ici ou bien ailleurs
    Car il garde les traces
    Du bonheur dans son cœur
    Enzo

    Je suis un petit garçon
    Qui vit près du soleil
    Dans une grande maison
    Sous un bel arc-en-ciel
    La la

     


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  • Paroles & musique : Michel Pierozzi                               Pour mon fils

    Jérôme

    Ecouter « JEROME »

    C’était une nuit de juillet
    J’étais fébrile je t’attendais
    Petit garçon plein de soleil
    Tu as illuminé mon ciel

    Où que tu ailles où que tu sois
    Je serai là

    Dans mon arbre enraciné
    Par le temps par les années
    Tu es devenu cette branche
    Vers laquelle mes pensées se penchent

    Où que tu ailles où que tu sois
    Je serai là

    C’est dans le monde des enfants
    Que s’éveillent tes sentiments
    Que survivent tes souvenirs
    Que s’échappe ton avenir

    Où que tu ailles où que tu sois
    Je serai là

    Quand l’orage sera passé
    Q’enfin tu te seras posé
    Quand tu auras trouvé ta place
    Ton univers et ton espace

    Où que tu ailles où que tu sois
    Je serai là

    Quand notre horizon est l’amour
    Tous les chemins se croisent un jour
    Pour que les instants de bonheur
    Renaissent dans notre cœur

    Où que tu ailles où que tu sois
    Je serai là


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