• Paroles : Marceau Piana       Musique : Michel Pierozzi

    C'est vrai

    Ecouter « C'EST VRAI » 

    C'est vrai
    Lorsque je m'éloigne un peu trop
    Je vous téléphone aussitôt
    Pour obtenir de vos nouvelles
    C'est vrai
    Je ne peux résister longtemps
    À ce plaisir attendrissant
    De froisser vos folles dentelles

    Voyez je suis à vos genoux
    Posez votre main sur mon cou
    Je vais dormir
    Ma mère

    C'est vrai
    Quand parfois je rentre trop tard 
    J'imagine votre regard
    Chargé de tendresse en colère
    C'est vrai
    Si je me réfugie chez vous
    Tout s'apaise et tout se dénoue
    Au son de votre voix si claire

    Voyez je suis à vos genoux
    Posez vos lèvres sur ma joue
    Je vais rêver
    Ma mère

    C'est vrai
    Quand je rencontre de beaux yeux
    Je n'y retrouve pas ce bleu
    Qui me naufrage dans les vôtres
    C'est vrai
    Moi qui prend feu comme on prend peur
    Votre place au coin de mon cœur
    Est bien plus vaste que les autres

    Voyez je suis à vos genoux
    Il me semble n'aimer que vous
    Au fil du temps
    Ma mère


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  • Paroles : Ghislaine Nicolas       Musique : Michel Pierozzi 

    Ecouter « TOUT CE QU'ON SE REPROCHE »

    Notre histoire prends l'eau
    On ne peut rien y faire
    Le mieux pour tous les deux
    C'est encore de se taire
    Mais c'est plus fort que nous
    On ne peut s'y résoudre
    Et sans s'en rendre compte
    On laisse tomber la foudre

    Alors on se reproche toutes nos incertitudes
    Et puis on se reproche toutes nos lassitudes
    De disputes en disputes on se rejette les fautes
    Et puis on s'habitue à vivre côte à côte

    On ne sait plus comment
    On pourrait s'en sortir
    Simplement on voudrait
    S'arrêter de souffrir
    C'est comme ça qu'on s'abîme
    Comme ça qu'on se déchire
    Et plus on se déchire
    Plus on se sent victime

    Alors on se reproche toutes nos déchirures
    Et puis on se décoche des flèches de cyanure
    De disputes en disputes on se rejette les fautes
    Et puis on s'habitue à vivre côte à côte

    Puisqu'il n'y a plus rien
    A sauver de précieux
    Sur ce qui fut nous deux
    Qu'on s'est lâché la main
    Et que de nos baisers
    On a même plus faim
    Mieux vaudrait pour chacun
    Écrire le mot fin

    Pourtant on se raccroche à ces tout petits riens
    Qui font qu'on se reproche la routine des matins
    De disputes en insultes, on s'habitue à tout
    Et d'insultes en injures on s'habitue c'est tout
    On s'habitue c'est tout.


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